Implanter une évaluation par des stations d’examen clinique objectif structuré(ECOS) en phase prédoctorale dansune faculté de médecine Algérienne.Obstacles et pistes de solutions

Abstract:

​Contexte​ : En Algérie, il semble que les évaluations des
connaissances acquises par les étudiants est le résultat sommatif des évaluations modulaires. Ces évaluations se font de
deux manières. La première permet de certifer les acquis
théoriques. La deuxième permet de valider les acquis des
stages cliniques. Pour l’une ou l’autre, le choix de la manière
de validation des acquis relève des prérogatifs de l’enseignant d’internat. Des questions écrites aux QCM en passant
par les QROC le choix lui est exclusif. Ce choix cautionne
un passage des étudiants au stage de médecine générale, ceci
sur l’unique base d’une moyenne compensée entre l’évaluation théorique et celle pratique de l’ensemble des modules
du cycle clinique. Ce choix est remis en cause dans cette
démarche d’évaluation certifcative d’un ensemble de savoirfaire professionnalisant.
Objectifs​: Cette présentation qui permet d’identifer les obstacles qui empêchent le développement des stations d’ECOS en
phase prédoctorale dans une faculté de médecine Algérienne. Il
sera aussi présenté des pistes de solutions pour pouvoir implanter de tel dispositif d’évaluation.
Méthodes​ : Une analyse de la situation basée, sur la structuration du cursus de médecine générale en Algérie, sur les
méthodes d’évaluation adoptées par les évaluateurs et sur
les recommandations internationales dans le domaine de la
docimologie.
Résultats​ : Cette analyse permettra d’identifer les obstacles
qui s’opposent à l’implantation des stations d’ECOS. À la fn
de l’analyse il sera proposé des pistes de solutions.
Discussion/conclusion​: Pour pouvoir implanter un dispositif
d’ECOS il faut surmonter les obstacles des objectifs de l’évaluation eux-mêmes liés aux fnalités du cursus de médecine.

Publisher's Version

Last updated on 04/23/2020