Cette première conférence a été l'occasion de découvrir les travaux de Marion Sigaut. L'historienne a essayé de remonter aux origines de l'humanisme occidental, d’en expliquer la structure et l’évolution pour aboutir à une interprétation inattendue des événements de la révolution française.

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Dans ses Chroniques de la haine ordinaire, Pierre Desproges (1939-1988) traite avec verve, brio et humour de sujets aussi variés qu'inattendus : le nouvel an et son lot de formules préfabriquées et de platitudes soporifiques, les restos du coeur avec leur philanthropie prétentieuse et leur dégoutante promotion de la mendicité ou encore la jeunesse qui est réellement la frange la plus parasitaire de la population. Le concept de désacralisation est au centre de ces chroniques. C'est ce que propose d'étudier ce mémoire de fin d'études.